miércoles, 14 de julio de 2010

PARC NATUREL DE CABO DE GATA-NIJAR

Le parc naturel de Cabo de Gata-Nijar est situé dans la province d'Almería, la plus orientale des huit provinces de l'Andalousie.
Sa frange côtière est l'une des plus belles et des plus riches, du point du vue écologique, de la Méditerranée occidentale, et il a été déclaré Réserve de biosphère par l'UNESCO en 1997.
Il s'agit probablement du seul tronçon de rivage méditerranéen encore vierge. On y rencontre de nombreuses espèces végétales et, depuis peu, cet espace protégé est devenu un sanctuaire de la faune européenne.
Le cœur de ce parc naturel est formé par la Sierra de Cap de Gata, un massif montagneux d'origine volcanique dont le flanc sud-ouest s'enfonce directement dans la mer en formant des falaises abruptes découpées par des petites criques au débouché des principaux ravins qui érodent leurs versants.
C'est cette origine volcanique des deux tiers de sa surface qui donne son caractère à cet espace naturel, ainsi que la rigueur du climat local exceptionnellement sec.
Avec ses paysages de volcans, de coulées de laves, de plages et de récifs vieux de 12 millions d'années, ce parc naturel constitue un véritable musée à ciel ouvert.
De nombreux sentiers pour les amateurs de randonnées permettent de parcourir ce parc naturel et de découvrir ses criques solitaires et ses plages vierges.
Il ne fait aucun doute que sa visite ne laissera personne indifférent.

lunes, 12 de julio de 2010

Arrecife de las Sirenas

Le parcours commence au pied du phare (Autovía del Mediterráneo, nacional 340/E15, sortie 460)

Au Moyen Âge, le cap était connu sous le nom de Cabo de las Ágatas en raison de l'abondance des pierres précieuses sur le site. La contraction phonétique a donné lieu à l'appellation d'aujourd'hui. Près du phare se trouve El Mirador de las Sirenas, d'où il est possible de contempler El Arrecife de las Sirenas, des rochers volcaniques aux formes capricieuses et aux couleurs fascinantes qui se dressent en mer.


Punta Baja

Dans l'Antiquité, cet endroit était peuplé des phoques dont les cris étaient confondus avec l'appel des sirènes par les navigateurs.



domingo, 11 de julio de 2010

Cala Arena




Cette plage solitaire très proche du phare et accessible à pied ou en bateau offre des eaux peu profondes et limpides. A une extrémité de la plage, il est possible d'observer d'anciennes coulées de lave dont la section en prismes hexagonaux est due à leur composition chimique et à leur refroidissement lent. Dans le passé ces roches ont été exploitées pour la fabrication de pavés. L'ensemble de ces formations date de 12 à 15 millions d'années. De telles formations prismées peuvent être également observées à Punta Baja, tout près du phare.




sábado, 10 de julio de 2010

Cala Rajá

Un sentier longeant la falaise et d'accès difficile en raison des rochers nous conduit à cette plage, véritable paradis pour les amoureux de la plongée.



viernes, 9 de julio de 2010

El Acantilado de la Vela Blanca




Cette falaise de plus de 200 mètres de hauteur appartient à un ancien volcan sous-marin dont l'autre moitié est aujourd'hui submergée.
Sur le fond sombre de sa roche des grands rochers blancs dessinent une voile de bateau et donnent son nom de Vela Blanca à cette falaise. Ces rochers blancs sont des tufs volcaniques ayant subi des altérations hydrothermales.
Non loin vers le large se dresse El Arrecife del Dedo, une ancienne cheminée volcanique pointant vers le ciel comme un doigt. C'est non loin de là qu'une colonie de phoques moines trouvait refuge il y a longtemps dans une grotte, devenue célèbre. Selon la légende en effet, ces véritables loups de la mer attaquaient les hommes venus chercher des pierres précieuses à l’intérieur de leur grotte.





jueves, 8 de julio de 2010

Cala Carbón


Nous quittons El Acantilado de la Vela Blanca et descendons la falaise rocheuse, puis nous suivons le sentier vers Cala Carbón, une crique accessible à pied. Cette crique, entourée de roches volcaniques aux formes capricieuses, n'est pas recouverte de sable mais de gros galets. C'est pour cela qu'elle n'est pas aussi populaire que les autres. Comme dans la majorité des plages de la zone, les nudistes et les non-nudistes cohabitent.

La vue sur les montagnes y est spectaculaire.